Le bracelet
Les rêves ont une fin ;
Même les grands amours
Au piège du destin
Se prennent à leur tour !
Ma douce Colombine,
Je ne suis plus Pierrot
Qui te donnait la rime
Au baiser le plus chaud.
Ma blonde Galatée
Toi, ma muse d’un temps
Ma poupée s’est brisée
Et se meurt lentement.
« Être ou ne pas être ? »
Q’importe la question,
Seul le destin est maître
Et prend sa décision.
Il faut savoir tirer un trait
Et se refaire un avenir !
Si je te donne ce bracelet,
Moi, je garde ton souvenir.